À l'occasion de l'incontournable rendez-vous gourmand de printemps au « Salon du Goût de Najac », ils sont venus, ils étaient tous là, réunis dans la grande salle du Puech aménagée comme un marché de village, avec tous les commerces formant cercle autour d'une place centrale dressée de tables et de bancs où tout un chacun pouvait s'attabler pour déguster ses achats gourmands en toute convivialité et trinquer avec ses voisins en toute amitié. 

Il faut dire qu'ici le choix était abondant et varié, l'accueil chaleureux et généreux ; alors chaque personne pouvait à loisir composer son menu entre huîtres et sardines, terrines et tapenades, viandes et légumes, escargots et grillades, fromages et miels, pains et pâtisseries, vins, bières artisanales et jus de fruits... 

En bref, une joyeuse ambiance rurale propice aux rencontres et aux échanges, au bonheur de vivre ensemble et de partager, loin, très loin des tracas d'un monde qui ne tourne plus bien rond. En somme, un Najac havre de paix pour gourmands, gourmets, fines gueules et autres amoureux du goût.

Ainsi, dans un va-et-vient incessant, le public pouvait à loisirs converser avec ces producteurs venus de tous horizons à l'instar de Mathieu Gallard et ses délicieuses huîtres de Marennes-Oléron, 

Raoul Huréprésent à ce rendez-vous depuis dix huit ans avec son incontournable champagne, 

Gilles Victor et ses préparations safranés, 

Chantal Pouclet et ses boites de sardines de collection de Saint-Gilles Croix de Vie,

l'impressionnant étal de poivres et sels du monde savamment présenté par Alexandre Gorrevod, 

les sœurs de la communauté des Anawim et leur savoureux fromage de chèvres au lait cru , le « Cabrinou » produit selon la tradition monastique multi séculaire de l'élevage ; 

mais aussi, les vins d'Arbois et côtes du Jura, de Bourgogne (Le Cassissium), 

d'Alsace, de Bergerac, de Marcillac, de Frontignan, de Bordeaux, de Gaillac, de Châteauneuf du Pape, des Côtes du Rhône, le Calvados et le Poiré de Josselin Le Royer, 

l'Irouléguy des Pyrénées-Atlantiques, etc ; ou encore, l'huile d'olive et les surprenantes tapenades du domaine de la Taurelle, les fraises, les asperges, kiwis et jus de fruits de Pierrette Sikora, 

le veau de l'Aveyron et bœuf de l'Aubrac label rouge de Patrick Thermines, 

les produits à base de viande d'autruche du domaine de la Légrie (steaks, carpaccios, galantines, civets et pâtés), 

les multiples huiles de Lydie Fraysse, 

les onctueux pruneaux de Pascal Poueymidan, les étonnants pastis de Magali Conquet, 

les succulents escargots du Rouergue cuisinés par Sandrine Rey, 

la gouleyante bière artisanale de Régis Dantin, 

les délicieux farçous aux légumes du potager de Philippe Reynaud, les tomes de brebis de Patrice Ferrand, les spécialités réunionnaises de Vincent Imaho, la commanderie du fromage de Saint-Nectaire, 

les spécialités paysannes de la ferme Carles, etc. 

À noter bien sûr le très attendu concours de l'Astet de Najac* au cours duquel s'affrontent en toute amabilité quelques figures locales adeptes de cette recette ancestrale (cette épreuve fut à nouveau remportée cette année par André Lacombe) 

ou celui de la fouace monumentale réalisée par le clan des boulangers Delmur de Najac et dont il fallait deviner le poids de... 10kg 325, avant que celle-ci ne soit découpée en mille morceaux distribués à l'ensemble des visiteurs et exposants. 

Le spectacle se tenait aussi à l’extérieur grâce àLaurence GINESTE et ses spectaculaires gâteaux à la broche délicieusement façonnés et cuits au feu de bois

(à découvrir sur :www.youtube.com/watch?v=5UMbEPX6_54)

À signaler aussi une intervention des plus salutaires avec la captivante conférence intitulée « Santé-Alimentation » du docteur Michel Reverdy.

Coup de chapeau enfin aux 120 bénévoles qui organisent et gèrent à merveille cet événement depuis dix huit ans, tout en étant remarquablement disponibles auprès des visiteurs et des exposants.

Ainsi, sans quitter Najac, c'était un tour du monde des goûts et des saveurs que l'on avait la possibilité d'effectuer dans ce très beau village de France dominé par son imposante forteresse royale dont le donjon culmine à 40 mètres. 

À découvrir aussi au cœur de la cité et cela ne s’invente pas, un couteau appelé« Le Najac », fabriquéà Najac, par Régis NAJAC ! ou bien encore les céramiques jaspées de Sylvie Sallet, les bijoux de Tsedey Roscoe, la boulangerie Delmur et ses spécialités locales, etc.

Alors rendez-vous en avril 2017 pour l'incontournable « Salon du Goût de Najac » en Aveyron ! Mais attention, n’oubliez pas de prendre votre temps, car ici, après les plaisirs gourmands, ce sont les plaisirs des yeux qui vous attendent avec l’incontournable et très conseillée visite de cette cité médiévale aux multiples attraits.

Reportage de Philippe PLOQUIN et Françoise PEURIOT

Pour tous renseignements :

Office de Tourisme de Najac

Tél. 05 65 29 72 05

www.tourisme-villefranche-najac.com

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* l'Astet de Najac : Prendre un rôti dans la longe et un filet mignon de porc, que l'on va fendre dans le sens de la longueur puis farcir généreusement d'un hachis d'ail et de persil, le tout salé, poivré, enveloppé de crépine et ficeler très fin. Il est conseillé de laisser macérer pendant 3 ou 4 jours au frigo pour qu'il ait le temps de s'imprégner de la persillade avant de le cuire. 

Claude IZARD et Mariel MARTEAU avec l'un des trois Pâtés en croûte de Maître Jacques (photo ci-dessus).

Voilà, c'est fait, le printemps est arrivé drapant les coteaux du Sud-ouest d'impressionnants champs de colza, 

laissant poindre ici et là les morilles et les respounchous(Tamus communis - photo ci-dessous), 

les asperges et les fèves, l'oseille et les premières fraises, assistant à la naissance des agneaux du Quercy, aux ébats fougueux des truites fario dans l'onde cristalline des rivières de Midi-Pyrénées où croisent les discrètes anguilles avant leur long périple vers la mer des Sargasses.

Alors, les chefs des « Cuisineries Gourmandes des Provinces Françaises » se sont réunis et, après concertation, ils ont allumé leurs fourneaux pour concocter l'un de ces festins de saison dont ils ont le secret, proposant même à cette occasion aux maîtres charcutiers de Lauzerte (82), Jacques et Françoise BONNEFOUS (photo ci-dessous), de réaliser trois somptueux pâtés de Pâques en croûte. 

Pour déguster les créations culinaires mitonnés par huit maîtres cuisiniers, soixante quinze convives s'étaient attablés ce lundi 11 avril 2016 dans le restaurant de Michel et Sandrine GUIRAUD, L'Impérialà Laboutarié, dans le département du Tarn. 

À 20h30, Claude IZARD, le président des « Cuisineries Gourmandes des Provinces Françaises » prenait la parole pour présenter ses confrères et annoncer les plats de ce copieux « Repas de Printemps »aussitôt suivi des huit services composant le menu, avec :

Un trio composé d'asperges blanches, d'asperges vertes et de févettes, sur un lit de fromage de chèvre parfumé au cumin et crumble au parmesan, par Antoine CARAMELLI (Le Lautrec à Albi). Plat servi avec un « Gaillac Perlé » de la Cave de Labastide-de-Lévis ; 

Suivi des Pâtés en croûte de Maître Jacques (Lauzerte). Plat servi avec la cuvée « Renaissance » du domaine Rotier. 

À ce propos, rappelons-nous que c'est au Moyen Âge que les pâtissiers confectionnent les premiers pâtés en croûte à la viande, au poisson ou au gibier. C’est ainsi que les seigneurs en passant à table prenaient un réel plaisir à« casser la croûte » ! La première recette écrite de pâté en croûte date du XIVe siècle et fut rédigée par le poète normand Gace de la Bigne ; il évoque alors un étonnant pâté comme l’on n’en fait plus et qui contenait pas moins de trois gros perdreaux, six cailles bien en chair et une douzaine d’alouettes dodues à souhait. À la Cour de François 1er, tout le monde s’arrache ces merveilles et, pour des banquets d’apparat, des seigneurs commandent même des pâtés représentant leurs châteaux forts. Le pâté en croûte connaît ensuite son apogée à la Cour de Louis XIV et Richelieu en est tellement friand qu’il fait enrichir ses pâtés de médaillons de foie gras et son cuisinier crée ainsi un pâté qui porte désormais son nom.

Comme toujours, les mets et les vins ont été présentés avec talent par Michel REVERDY, le dithyrambique commentateur de ces soirées épicuriennes, posant ci-dessous en charmante compagnie et avec l'un des trois Pâtés en croûte de Maître Jacques. 

Mais revenons à notre banquet des chefs du XXIe siècle avec ce qui suit :

Une ballottine d'anguille à la vinaigrette de respounchous et saumon gravlax, par Claude IZARD (L'Hostellerie du Parc à Cordes-sur-Ciel). Plat servi avec un « Astrolabe blanc » de chez Vinovalie ; 

Une truite au lard et son aligot, sur un jus de rôti et tuile au Cantal, par Pascal DOUCET (Les Deux Rivières à Laguépie). Plat servi avec un « Astrolabe blanc » de chez Vinovalie ; 

Pour mémoire, souvenons-nous que L'Aligot est né au XIIe siècle chez les moines d'Aubrac qui nourrissaient les pèlerins se rendant à Saint-Jacques de Compostelle à l'aide d'un copieux mélange de fromage et de mie de pain (Aliquid en latin), leur fournissant ainsi un solide repas qui leur redonnait force et courage afin de poursuivre leur long périple. Fort heureusement pour notre alimentation, Antoine-Augustin Parmentier introduira la pomme de terre en France au XVIIIe siècle et c'est ainsi que va naître l'aligot d'aujourd'hui, un délicieux mélange de purée du précieux tubercule et de tome fraîche qu'il faut travailler et retravailler encore pour obtenir cette texture particulière, comme ci-dessous réalisé par Pascal DOUCET. 

Une petite pose digestive fut alors proposée avec un très agréable et rafraîchissant « Granitéà la liqueur de poire » ; 

Suivaient une ballottine de pintade fermière, son manchon braisé au miel et un « crouton mémé » (composé de foie gras, boudin noir et oignons confits), par Rémy SIMON (L'Oustal del Barry à Najac). Plat servi avec une cuvée « Tradition » du domaine Mazou ; 

Un carré d'agneau rôti à la crème d'oseille, par Michel GUIRAUD (L'Impérial à Laboutarié). Plat servi avec un « Prunelar » du domaine Carcenac ; 

Un caillé de brebis, aillet et fines herbes, par Jacques BARDY (Au Bon Accueil à Alban). Fromage servi avec un « Prunelar » du domaine Carcenac ; 

Et, pour terminer ce généreux banquet, une fouace perdue et son crémeux (composé de fromage blanc et chocolat blanc) à la fraise, par Jean-Pierre SAYSSET (Hôtel Restaurant du Pont à Ambialet). Dessert avec une « Méthode Gaillacoise » du Manoir de L'Emmeillé. 

Voici donc ce que fut ce savoureux dîner de printemps qui nous rappelle cette jolie phrase de Samuel Chamberlain : « Le bel art de la gastronomie est un art chaleureux. Il dépasse la barrière du langage, fait des amis parmi les gens civilisés et réchauffe le cœur ».

Pour clôturer la soirée, Claude IZARD reprenait la parole afin de rappeler l'engagement des « Cuisineries Gourmandes des Provinces Françaises » en faveur d'une cuisine véritablement « Faite Maison » et, dans une ambiance particulièrement enjouée, décernait de la part de sa noble institution un diplôme de « Disciple du Goût »à neuf membres de cette sympathique assemblée. 

Alors, amis(es) gastronomes, gourmands(es) et gourmets à très bientôt pour le prochain « Dîner des Chefs d'été ». Pour participer à ces rendez-vous épicuriens, rien de plus simple, contactez l'Association des Cuisineries Françaises pour réserver votre place et profiter ainsi de ces mémorables agapes.

Reportage de Philippe PLOQUIN et Françoise PEURIOT

Association des Cuisineries Françaises

Les Cabannes

81170 Cordes-sur-Ciel
Tel : 05 63 56 06 58
www.cuisineriesfrancaises.com 

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Le domaine de Chambert est situé sur une colline, à une trentaine de kilomètres à l'Ouest de Cahors, sur la commune de Floressas ; sa vie a toujours étéétroitement associée à l’histoire de la région depuis le Xe siècle. 

Jusqu'en 1854, le vignoble couvrait près de 400 ha mais il entame malheureusement son déclin avec l'arrivée du phylloxéra et le décès en 1914 de son propriétaire le Général Désiré Bataille ; sa sœur hérite de la propriété mais, toute à sa vocation de religieuse, elle la laisse totalement à l’abandon.

Après avoir été livrés aux herbes folles et au pâturage des moutons, les coteaux et les vallons sont enfin replantées de vignes en 1974 et, dès cette période ils sont travaillées de façon biologique. La propriété n'aura ainsi jamais connu le moindre pesticide et autres produits chimiques inexorablement néfastes à toutes les formes de vies sauvages et à l'épanouissement d'une nature saine. 

Aujourd'hui, le vignoble de Chambert couvre 65 ha intégralement localisés dans l’appellation AOC Cahors et travaillés exclusivement en biodynamie.

D'ailleurs, Chambert est certifié Bio et Biodynamie par les très sérieux organismes Ecocert et Demeter. 

Les vignes sont composées à 80% de cépages Malbec (le cépage historique des vins de Cahors), 17% de Merlot et 3% de Chardonnay.
À noter que Chambert est le plus grand vignoble BIO de l’appellation Cahors et aussi l'un des cinq plus grands vignobles BIO de France.

Lorsque l’on visite le domaine de Chambert, il apparaît clairement que l’environnement est au cœur des préoccupations de Philippe LEJEUNE, son propriétaire. En effet, ici tout le travail est réalisé afin de respecter la terre, la vigne et tout l'éco-système environnent afin d’encourager notamment la plus pure expression du Malbec sur ce terroir préservé depuis des siècles où cohabitent en toute harmonie oiseaux, mammifères, insectes, reptiles et une grande variété de fleurs sauvages.
Enfin, il faut rappeler haut et fort, que dans son numéro de décembre 2015, le très sérieux magazine international « DECANTER », après avoir dégustéà l'aveugle des milliers de vins, en a retenu seulement cinquante notés au minimum 95/100, dont 3 vins rouges Français avec parmi eux le « Grand Vin » Château de Chambert de 2009.

Visionner « Les vins Bio de Château de Chambert et les dîners gourmands de Thierry Pszonka »sur :

www.youtube.com/watch?v=OBKP3TE_WYw

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Reportage de Philippe PLOQUIN et Françoise PEURIOT 

Située en Aveyron, sur la commune de Monteils entre Najac et Villefranche de Rouergue, la Communauté des Anawim a créé en 2002 le monastère de la Mère de Dieu et la ferme de Falgayroles en accord avec leur devise « Ora et labora » qui signifie « prière et travail ».

C'est dans un cadre enchanteur, propice au recueillement et à la méditation, que sœur Bénédicte et sœur Marie rythment leur journée du lever au coucher du soleil, entre prières silencieuses, chants liturgiques et activités agricoles. 

La vie de la Communauté des Anawim pauvre selon les Béatitudes, est inspirée par la confiance de sainte Thérèse de Lisieux, le dénuement du Frère Charles de Foucauld et la simplicité proche de la nature de saint François d'Assise. 

Avec humilité et un dévouement exemplaire, les sœurs pratiquent ici la fabrication du fromage de chèvre au lait cru, selon la tradition monastique multi-séculaire de leur ordre et tout commence par la traite de leurs chèvres Alpines, Saanens et Provençales, dans l'atmosphère douce et apaisante des chants grégoriens.

La traite aussitôt terminée, sœur Marie libère son troupeau de 40 chèvres qui part se repaître des saveurs bienfaitrice des herbages hétérogènes qui s’épanouissent sur les pâturages du monastère. Ce sont justement les variétés aromatiques de toute cette diversité de plantes sauvages qui donne au lait et donc aux fromages de Falgayroles leurs goûts incomparables. 

Après la traite, sœur Bénédicte réceptionne le lait qui est immédiatement ensemencé au lactoserum, puis, conformément à la tradition, le moulage des « Cabrinous » est effectuéà la louche. Ensuite, patience et affinage sont nécessaires avant de pouvoir savourer des fromages crémeux ou affinés, natures ou aromatisés.

Les fromages de Falgayroles bénéficient de très nombreux prix, à l'instar du trophée « Fromagora »obtenu en 2010 lors du concours national des fromages de chèvre fermiers et de différentes médailles au concours  d'Espalion, avec :

La Médaille de Bronze en 2010 pour le faisselle nature ;

La Médaille d'Argent en 2013 pour le fromage nature très frais non salé ;

La Médaille d'or en 2013 pour le fromage frais crémeux ;

La Médaille d'or en 2014  pour le fromage nature demi-sec, etc.

Chaque jeudi matin, c'est jour de marché au cœur de la magnifique cité chargée d'Histoire de Villefranche-de-Rouergue. 

Sœur Marie s'installe alors, de Pâques à la Toussaint, sous le porche de l'imposante collégiale Notre-Dame où elle propose à sa fidèle clientèle ses savoureuses confitures cuites au chaudron de cuivre, son excellent jus de pomme Bio et, bien sûr, ses délicieux fromages qui ont déjà séduit de grands fromagers affineurs tels les célèbres Androuet à Paris et Xavier à Toulouse, avec, par exemple :

Les Faisselles (natures, au coulis de fruits rouges ou au kirsch) ;

Les Fromages natures (frais, crémeux, demi-secs ou secs) ;

Les Fromages en forme (bûche cendrée, cœur de Falgayroles ou brique) ;

Et enfin, les très réputés Fromages aromatisés de Falgayroles : miel-noix (une savoureuse alliance « sucré-salé » réalisée entièrement avec les noix de la propriété et le miel du rucher), ail et fines herbes, salempa (poivron - paprika - graines de moutarde), saveurs du jardins (oignon - ail - échalote - ciboulette - persil - graines de céleri), saveurs provençales (thym - lavande), poivre concassé, cumin ou curry.

Des mets de choix donc, à consommer sans trop modération, faute, peut-être de commettre un petit pécher de gourmandise... mais certainement pardonné par sœur Bénédicte et sœur Marie !

Visionner le film sur :

www.youtube.com/watch?v=CAYrlPa70Yc

Communauté monastique des Anawim

Monastère de la Mère de Dieu

Falgayroles Hautes

12200 - MONTEILS

Tel : 05 65 65 72 24

www.anawim.fr 

Véritable institution et rendez-vous festif durant le deuxième week-end de mai, la Fête de la Fraise anime depuis 24 années la cité de Beaulieu-sur-Dordogne située sur les flots limpides de la Riviera Corrézienne, au carrefour des régions Limousin, Auvergne et Quercy. 

À cette occasion, les trois pâtissiers de la ville vont réaliser 320 pâtes feuilletées rectangulaires qui seront recouvertes ensuite de 160 kg de confiture de fraises, de 600 kg de fraises « Cléry », elles-mêmes badigeonnées de 35 litres de coulis de fraises. 

Cette tarte géante de 8 mètres de diamètre est assemblée par 30 bénévoles qui la partagent ensuite le dimanche après-midi en 5 000 parts distribuées généreusement auprès de tout le public. 

Dès le samedi après midi la ville est en effervescence et vibre déjà aux sons de la cornemuse et du tambour des artistes équilibristes du « Cirque éffiloché », haut perchés sur leurs échasses qui animent places et rues de la cité Bellocoise dans un tourbillon surréaliste de voiles argentés. 

Vous pouviez aussi partir pour une chevauché fantastique, accessible à tous les jeunes de 7 à 77 ans, sur les hétéroclites « Vélos rigolos » de « Yoyo le clown ». Un sympathique bricoleur saltimbanque, fou du guidon qui a réinventé depuis 15 ans une trentaine de cycles plus loufoques les uns que les autres : du tandem des amoureux au tandem dos à dos, du côte à côte au shadock, du 4 places à la famille nombreuse (8 personnes), sans oublier les vélos à roues décentrées, les vélos à volant, le vélo siamois, le vélo tordu, le vélo chewing gum, bref, il y en a pour tous les goûts et toutes les sensations. 

Visionner le film de cet événement en cliquant sur le lien ci-dessous :

www.youtube.com/watch?v=HiiRkOMKEkE 

Saveurs et biodynamie :

les Dîners Gourmands de Thierry PSZONKA avec les vins du château de Chambert !

Le 11 mai dernier, dans son restaurant « Les Sens »à Puylaroque (82), Thierry Pszonka organisait un nouveau Dîner Gourmand avec des « Accords Mets et Vins »concoctés en collaboration avec Philippe Lejeune du château de Chambert. 

Le menu était ainsi composé :

Du saumon marinéà la betterave rouge, vinaigrette à la truffe, pousses bio et perles de Yuzu  (plat servi avec un rosé plaisir 2015). 

Du foie gras de canard poêlé sur une mousseline de céleri rave fumé et un velouté d'orties (plat servi avec un fruité intense rouge 2014). 

Des noix de saint-Jacques snackées, étouffé de mogettes de Vendée et basquaise au chorizo (plat servi avec château Chambert 2010). 

Des aiguillettes de bœuf Black Angus, compotée d'oignons au vin rouge et réduction de jus de champignons  (plat servi avec le Grand Vin 2010 de château Chambert). 

Une tartelette au chocolat noir, roquefort coccinelle et glace à la truffe (dessert servi avec un Rogomme).

Après les applaudissements bien mérités de l'ensemble des convives ravis de ce savoureux dîner « Accords Mets et Vins » parfaitement réussi, les deux maestros de la soirée ont pu trinquer amicalement en toute sérénité !

Visionner le film de cet événement en cliquant sur le lien ci-dessous :

www.youtube.com/watch?v=3qFRlz3ZZLs

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Le premier livre de cuisine qui nous soit parvenu est celui d'Apicius, le célèbre cuisinier romain qui a servi les empereurs Auguste et Tibère au tout début de notre ère. Mais, au fil du temps, la cuisine médiévale va s'éloigner peu à peu de l'idéal romain, les Francs de l'époque de Clovis vont apporter le goût des viandes ; le lard et le saindoux remplaceront l'huile d'olive. 

Les cuisines voient le jour dans les demeures, les plats sont alors cuits dans la cheminée où l'on va aussi rôtir des viandes à la broche, cuire divers aliments à feu doux sur la braise et faire mijoter des sauces. 

Viandes et poissons sont servis rôtis ou bouillis, accompagnés d'une sauce acidulée ou aigre-douce assaisonnée aux épices et additionnée de verjus ou vinaigre. Signe de luxe et de diététique, la palette des épices s’élargit et, à partir du XIIIe siècle, les goûts pour le sucré et l'aigre-doux se développent en Europe pour s'épanouir au XVIe siècle. 

Lors du premier service, il est de rigueur d'offrir une coupe d'Hypocras blanc à ses convives, afin « d'ouvrir les humeurs » comme l'on dit à cette époque. 

Rejoignons maintenant Dame Béatrice et Maître Jean dans le Tarn pour découvrir les délicieuses agapes concoctées par ces maîtres queux spécialistes de la cuisine médiévale et de la Renaissance. 

Pour plus d'infos, visionnez la vidéo en cliquant sur le lien ci-dessous :

www.youtube.com/watch?v=6Mhk-M0t6vk 

Situé sur la commune de Saint-Beauzeil, proche de Montaigu-de-Quercy dans le Tarn-et-Garonne, le château de l’Hoste est le cadre idéal pour déguster des plats d’exception, gourmands et colorés, à l'instar de ces belles créations concoctées par Guy Hérault : 

Un rillon de lapin en arlequin d'asperges et lentilles corail ; 

Des Saint-Jacques poêlées en plaisir de truffes du Quercy ; 

Et un savoureux dessert réalisé par la talentueuse Justine Hoël : 

Rhubarbe et fraises du Quercy en ganache ivoire chocolat blanc et ses sablés cacao, macaron cassis-framboises et pétales de rose cristallisés :

Pour accompagner ces trois excellents mets, le sommelier Marc Mac Guiness nous a conseillé avec justesse un savoureux vin blanc Bio du Domaine de Solencenommé« Ici et Maintenant », composé de cépages Muscat et Viognier. Grâce à une agréable longueur en bouche et des arômes puissants, ce vin s'est révélé le compagnon idéal pour ce repas.

Les amateurs peuvent retrouver ce vin dans le grand « Bar à Vin »de l'hôtel, un espace particulièrement convivial, où une soixantaine de crus sont proposés à la dégustation. 

Majoritairement Bio, la sélection présentée ici a de quoi ravir tous les palais : du Cahors au Buzet, du Gaillac au Bergerac, en passant par le Saint-Émilion, les Bordeaux et tant d’autres appellations régulièrement renouvelées.

Plaisirs des yeux et subtils ravissements pour les papilles, voici donc une remarquable adresse « coup de cœur »pour les gourmands et les gourmets.

Visionner le film en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=iC9_AzTmObg

Pour découvrir d'autres recettes consulter le livre « Trésors Gourmands » sur le site :

http://www.tresors-gourmands.com/ 

Avec son restaurant spacieux aux aménagements confortables, son agréable terrasse bordée de végétation et un vaste parking, « La Buffèterie » de Moissac est, depuis le mois d'avril 2016, un endroit séduisant pour une halte gourmande en Tarn-et-Garonne. 

Que vous soyez pressés ou que le temps ne vous soit pas compté, La Buffèterie répondra à toutes vos attentes et vos papilles ne seront point déçues par tout le choix de mets « fait maison » proposéà l'heure du déjeuner. 

Ici, du lundi au samedi, les deux cuisiniers, Geert De Smet et Jean-Marc Vinolo, concoctent chaque jour de bons petits plats et, ainsi, des entrées aux desserts en passant par les viandes, les poissons et les légumes, c'est toute une farandole de plats savoureux qui sont entièrement cuisinés à l'aide de produits frais renouvelés quotidiennement. 

Geert De Smet prépare des pâtisseries du jour !

Il faut dire que les deux chefs ont chacun un respectable parcours culinaire et, pour eux, ravir leurs clients est un sacerdoce quotidien. 

En salle, ce sont leurs épouses, Marcela et Martine, qui supervisent le service, tout sourire, dans une ambiance naturellement conviviale. 

Les douze coups de midi viennent à peine de sonner au clocher de l'abbatiale Saint-Pierre de Moissac, déjà les premiers convives font leur apparition et la centaine de places disposées autour du buffet s’anime aussitôt. 

Incroyable mais vrai, en effet pour seulement 12,90 euros, La Buffèterie propose chaque jour à l'heure du déjeuner ses buffets froids et chauds à volonté avec potage, crudités, salades composées, viandes, poissons, légumes, féculents, fromages, desserts et glaces. 

À signaler aussi les tarifs tout aussi attractifs des boissons avec, par exemple, le pichet de vin rouge, blanc ou roséà 1 euro les 25 cl et le caféégalement à 1 euro. 

Alors, sans hésiter, rendez-vous du lundi au samedi à La Buffèterie de Moissac pour un agréable déjeuner copieux, dans une ambiance sympathique où le « fait maison » a ici sa véritable signification.

Reportage de Philippe PLOQUIN et Françoise PEURIOT

La Buffèterie

Geert et Marcela De SMET, Jean-Marc et Martine VINOLO

Zone Commerciale Saint Pierre,

Route de la Mégère,

82200 Moissac

Tél. 05 81 78 42 41

Visionner aussi nos films sur :

www.youtube.com/channel/UCYOunjZnUjI96R0p-FGvX4w

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À Brive-La-Gaillarde se trouve l’une des plus vieilles fabriques de liqueurs de France qui appartient toujours à la même famille, la Maison DENOIX, fondée en 1839 par Louis Denoix. Cette entreprise familiale réputée peut d'ailleurs s’enorgueillir d’avoir reçu en 2007 le prestigieux Label d’État « Entreprise du Patrimoine Vivant » grâce à ses spécialités à base de noix et ses multiples liqueurs. 

Autrefois nos grands-mères se soignaient avec la noix verte réputée pour ses vertus tanniques, astringentes, cicatrisantes, anti spasmodiques, très efficaces pour lutter contre les maux d’estomac et les troubles digestifs. Ses propriétés anticholériques, stomachiques, vermifuges et fébrifuges étaient donc bien connues dans les temps anciens. Dans le sud de la Corrèze, le Lot et la Dordogne, sont implantées de nombreuses cultures de noyers qui produisent différentes variétés comme la Marbot, la Franquette, la Lara, la Corne et certaines de ces noix bénéficient d'ailleurs d'une AOC et d'une AOP sous le nom de « Noix du Périgord ». 

Tous les ans, à la mi-juillet, les producteurs locaux apportent leur récolte à l'entreprise Denoix, soit de 7 à 10 tonnes de noix vertes qui sont aussitôt broyées et pressées pour extraire le précieux jus de noix vertes. Selon les variétés de noix, on obtiendra 350 litres de jus pour 510 kg de noix vertes ou 620 litres de jus pour 915 kg de noix vertes ou bien encore 405 litres de jus pour 592 kg de noix vertes. 

Ce jus vert et amer va être additionné d’alcool et stocké en fûts de chêne pendant 5 ans afin de le bonifier. Le goût de la noix va alors s’exprimer et le liquide va prendre de belles saveurs boisées, de cacao et de vanille. 

Après 5 ans de vieillissement, ce jus alcoolisé est filtré avant d’être associéà du vin pour produire un apéritif, le célèbre « QUINQUI NOIX » ou le dernier en date « LE GAILLARD»créé au début de l’année 2016 ou encore d’autres apéritifs parfumés aux fruits comme « LOU FENELOU » (noix, cassis et vin de cahors). 

La même préparation de base (jus de noix additionné d’alcool et vieilli 5 ans en fût de chêne) peut aussi être additionnée de Cognac ou d’Armagnac et de sirop de sucre cuit au feu de bois dans un chaudron en cuivre pour obtenir la fameuse liqueur « SUPRÊME DENOIX »qui fait la réputation de la maison Denoix depuis des décennies. 

Lors des visites, Sylvie Denoix, l’arrière petite fille du fondateur de la liqueur Denoix, conseille la dégustation du précieux élixir selon un rituel particulier afin d’en apprécier toute la complexité : le verre doit être tenu par le pied pour ne pas chauffer le contenu et un glaçon est ajouté afin de « calmer » le côté sucré. 

Ensuite on fait tourner le liquide dans le verre afin d’en exhaler les arômes de l’Armagnac et de la noix. Puis, aussitôt en bouche, le premier goût qui apparaît est celui de l’Armagnac suivi de saveurs boisées qui proviennent du vieillissement en fût de chêne, puis des saveurs de vanille, cacao et café se révèlent. Enfin, en avalant doucement, on ressent une sensation de texture veloutée due au mode de cuisson du sucre au chaudron et, pour terminer, il est conseillé d'expirer par le nez pour ressentir le goût si délicat de la noix, c'est la « rétro olfaction ». Le goût reste alors longtemps en bouche, signe de qualité de ce merveilleux produit.

Cette liqueur « SUPRÊME DENOIX » peut être utilisée aussi bien en apéritif qu'en digestif ou bien en cuisine comme en témoignent ces fabuleux soufflés glacés réalisés par des restaurateurs de Corrèze comme :

1 – Le Soufflé glacé de l’Auberge de Benges à Collonges-la-Rouge ;

2 – Le Soufflé glacé du restaurant Le Saint-Étienne à Aubazine ;

ou bien accompagne admirablement ce dessert aux noix :

3 – Le Soufflé glacé dans un gâteau aux noix réalisé par le chef des Flots Bleus à Beaulieu-sur-Dordogne. 

Visionner aussi le film des Maîtres Liquoristes sur :

https://www.youtube.com/watch?v=qrCb8gjQqco

Reportage de Philippe PLOQUIN et Françoise PEUTIOT

Distillerie DENOIX

9, Boulevard du Maréchal Lyautey,

19100 Brive-la-Gaillarde
Tél. 05 55 74 34 27

http://www.denoix.com/la-distillerie-denoix.html

Voir plus de photos de la « Distillerie DENOIX » sur :

http://phototheque-peuriot-ploquin.com/piwigo/index.php?/search/1559

Toutes les photos de nos reportages sont notre propriété exclusive, obligatoirement soumises aux droits d’auteurs et à notre copyright : © F. PEURIOT - P. PLOQUIN 

La légende du Couteau de Najac, dit « Couteau de Paix », débute au XIIIe siècle avec un certain Peyrot Vidal, dit de Najac, un troubadour, aussi forgeron de lames, qui parcourait les chemins d’Occitanie. À cette époque, interdiction étant faite aux gueux de porter une lame aigüe, Peyrot Vidal décida d’en forger une à bout arrondi. Il conçut alors un couteau pliant à manche de bois ou de corne avec une lame élégante et singulière dont l’extrémité se termine par un arrondi, ainsi il ne se plante pas. Il fut nomméà ce titre « Cotel de Patz » ou Couteau de Paix. Aujourd'hui, seul Régis Najac fabrique « Le Najac » dans son atelier situéà Najac en Aveyron, chaque exemplaire de ces couteaux est unique et possède un poinçon figurant une Croix et une tour à trois créneaux.

Visionner la vidéo en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=RNmuDl8-3Ic

À l'occasion des « Marchés nocturnes de Najac », qui se déroulent chaque mercredi soir durant les mois de juillet et août de 17h à minuit, la grande esplanade du faubourg devient le théâtre d'un immense et convivial banquet où seulement les très bons produits des terroirs locaux sont à l'honneur. Il faut dire qu'ici le choix de victuailles de qualité est abondant et varié, l'accueil chaleureux et généreux. Alors chaque personne peut à loisir composer son menu avec diverses spécialités locales, farçous et tripoux, aligot et brochettes, truffade et légumes, estofinado, salades et grillades, fromages et miels, fouace et gâteau à la broche, vins, bières artisanales, jus de fruits bio et tant d'autres délices qui font la renommée de l'Aveyron.

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https://www.youtube.com/watch?v=4O2qs9iOYmU

Fondée dans le Rouergue Aveyronnais au XIIIe siècle par Alphonse de Poitiers, l’historique bastide de Najac est classée comme l’un des plus beaux villages de France. C'est dans ce cadre exceptionnel que se déroule chaque année, à la fin du mois d'août, la grande Fête de saint Barthélémy et de la fouace géante qui rassemble des milliers de personnes. Procession de Saint-Barthélémy, défilés de majorettes, groupes folkloriques, fouaces géantes, jeu de Quilles de Huit, marché gourmand, bals, banquet champêtre, fête foraine, bandas, retraite aux flambeaux en chanson, feux d'artifice et embrasement de la forteresse animent ces trois jours de festivités grandioses.

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https://www.youtube.com/watch?v=1KY-qf69MTg

Créées par Bernard TAURAN et Bernadette BESSIÈRES en l'an 2000, voici donc 17 ans que les nuits de Lauzerte dévoilent chaque année un festival-promenade haut en couleur judicieusement mis en scène où les rues, les cours et les jardins sont tour à tour décorés d'innombrables photographies cyclopéennes, d'œuvres contemporaines élaborées pour l'événement, mais encore animés d'artistes en tous genres qui expriment leur créativité de mille façons. Ainsi, chaque premier week-end du mois d'août de 22h à 1h du matin, aucun spectateur ne reste indifférent à cette féerie, cet univers onirique déployé dans ce gigantesque théâtre à ciel ouvert. Nuits magiques, nuits festives, nuits de tous les rêves, ce sont chaque année les inoubliables « Nuits de Lauzerte ». 

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https://www.youtube.com/watch?v=F-sf-OHRuWE

Le 27 juin 2016, les chefs des « Cuisineries Françaises »étaient à nouveau réunis et accueillaient 80 convives à« L’Hostellerie du Parc », fief de Claude IZARD, fondateur et président des « Cuisineries Françaises ». Les membres de cette noble institution œuvrent pour le strict respect de la qualité culinaire française, des traditions, des valeurs du patrimoine de nos terroirs, mettent en avant les producteurs locaux et se battent pour la qualité des produits et des métiers qui les font naître.

Depuis 40 ans, la reconnaissance des gourmets à l'égard des « Cuisineries Françaises » est unanime grâce aux valeurs défendues par cette noble institution : qualité, partage, découverte, culture, patrimoine, rencontre de l'autre, transmission des savoirs, réussir ensemble.

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https://www.youtube.com/watch?v=PmhkLM2-QsI

Fondée en 1839 à Brive la Gaillarde en Corrèze, la distillerie DENOIX est une véritable caverne d'Ali Baba pour épicuriens où les plus fins gourmets viennent ici s'approvisionner en liqueurs aux arômes et aux goûts incomparables. Cette entreprise familiale réputée peut d'ailleurs s’enorgueillir d’avoir reçu en 2007 le prestigieux Label d’État « Entreprise du Patrimoine Vivant ».

Il faut dire que depuis plus de 177 ans, dans ce temple du savoir-faire ancestral et artisanal, les liqueurs et apéritifs sont toujours élaborés à base de noix du pays corrézien, divers fruits et plantes de qualité rigoureusement sélectionnés. Ensuite, pour confectionner l’ensemble des liqueurs et apéritifs, les alcools les plus nobles sont bien sûr utilisés comme l’Armagnac ou le Cognac et même le sirop de sucre est toujours scrupuleusement fait maison et cuit au feu de bois dans des chaudrons de cuivre.

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https://www.youtube.com/watch?v=qrCb8gjQqco

Situé sur la charmante commune de Marcilhac-sur-Célé et à seulement quelques encablures de la cité de Cajarc fondée à l'époque gallo romaine sur les bords du Lot, le « BAR à PLANTES » de Juliette et Karel SILVENTE est véritablement un lieu de détente à nul autre pareil. Tels des druides férus de botanique, Juliette et Karel commencent leurs journées par une cueillette méticuleuse de toutes les plantes, feuilles et fleurs alentour, choisies pour la composition de leurs boissons fraîches, sirops et infusions qui offrent ainsi une palette de saveurs étonnantes, revigorantes, relaxantes, à découvrir et à déguster sans modération.

Retrouvez les produits du « BAR à PLANTES » et les créations de Junie SILVENTE sous l’appellation « KARIBO MADA » sur les marchés : le mercredi à Cahors, le samedi à Cajarc et le mardi à Marcilhac-sur-Célé durant l'été.

Visionner la vidéo en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=qvncokW0PmA 

Située dans la vallée du Célé et dominée par de grandioses falaises calcaires, Marcilhac-sur-Célé est une halte incontournable à bien des égards.

C'est tout d'abord l'imposant clocher carré de l'ancienne abbaye bénédictine Saint-Pierre qui attire tous les regards, avant de découvrir ses marchés d'été d'où se dégage chaque mardi soir une ambiance particulièrement conviviale. Il faut dire que, sur la petite place du village, seuls de bons produits des terroirs environnants ont le droit de cité : légumes bio, salades et grillades, bières et jus de fruits artisanaux, les vins gouleyants du domaine de Combarieux, les délicieux farçous et autres beignets de Laurence Decobert, les étonnants rhums arrangés de Junie Silvente, les opulentes tomates de la famille Tauran... mais encore, les charcuteries et fromages de Stéphanie Martinie, les crêpes généreuses de Catherine Massip, l'incomparable hypocras au safran de Anne-Hélène Vergé, les sirops et confitures de Julie Lauriac. Sans oublier des pains d'épices, différents miels, de plantureux pastis quercynois, les mûres, les framboises, les tomates multicolores et les herbes condimentaires du verger de Doujac, etc.

Visionner le film en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=WkyJ4K8j-r0

Situéà 5 km de Gaillac, sur la rive gauche du Tarn, l'Archéosite de Montans appartient à la Communauté de communes Tarn et Dadou, dont les 29 communes se situent autour des rivières du Tarn et du Dadou.

Les premières traces d’occupation humaine remontent à la fin du Néolithique, au 3ème millénaire avant J.-C. Ce n’est qu’à partir de la fin de l’Age du Bronze et au début de l’Age du Fer, vers 800 avant J.-C, que l’occupation humaine semble se développer de façon continue, sans doute grâce à l’intérêt défensif du site, élevé comme un oppidum, protégé naturellement par le Tarn au Nord et à l’Ouest, et une plus petite rivière, le Rieutort à l’Est. Au 2 ème siècle avant J.-C., les échanges commerciaux semblent s’intensifier avec l’Italie et avec la province voisine de Narbonnaise alors conquise par les Romains. Les Gaulois développent à cette époque un artisanat potier avec des vases montés avec la technique du colombin puis à l’aide du tour de potier.

Visionner le film en cliquant sur le lien ci-dessous :

www.youtube.com/watch?v=2w3Hq5ypNVc

Le guide le plus à jour du marchéà mettre dans sa poche pour faire ses courses. 

qu’est-ce qu’un additif alimentaire ?

C’est la question que se posent de nombreux consommateurs qui, comme vous, voudraient bien savoir ce qui se cache dans la liste des ingrédients, sous des noms parfois difficiles à lire et à prononcer ou des codes comme le E951, par exemple.

Muni de ce guide facile à utiliser, vous serez enfin capable de savoir ce que sont la plupart des ingrédients cités sur les emballages (même si tout n’est pas dit sur les étiquettes) et vous aurez le pouvoir de décider d’acheter ou non les produits concernés pour le plus grand bien de toute la famille.

Après plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de la toxicité des additifs alimentaires, dont 2 ans passés à comparer de nombreuses études internationales sur le sujet, Corinne Gouget est heureuse de vous donner enfin la possibilité de savoir ce que vous mangez.

Éditions Chariot d’Or

http://www.editions-chariot-dor.fr/

le site internet de l’auteur :

www.consomacteurs.com